Béatrice Maine

Du désir au plaisir de changer en 4 axes

Du plaisir au désir de changer en 4 axes : 1- L’attention aux 4 niveaux de conscience 2- L'intermodalité artistique 3- La présence bienveillante d’un autre comme témoin 4- Acquérir des repères du fonctionnement du cerveau pour comprendre ce que l’on fait et pourquoi

Comment changer en profondeur ET en douceur ?
Comment transformer des habitudes qui se révèlent être des freins ?
Comment élargir vraiment l’éventail des possibles ?
Comment générer un alignement soutenant (corps, pensée, émotion, subtil) pour vivre pleinement ?
Comment arriver à accomplir durablement ses aspirations ?

Les neurosciences associées au coaching créatif et dansé proposent des ressources et des clefs de compréhension qui répondent à ces interrogations. C’est ce que vous propose les formations-actions Neurodanse, pour passer du désir au plaisir de changer :

    • L’attention dans l’ici et maintenant aux 4 niveaux de conscience : le physique, l’émotionnel et le mental/imaginaire et le subtil
    • L’intermodalité artistique : va et vient entre différents supports créatifs dont le corps en mouvement est au cœur
    • La présence bienveillante d’un autre comme témoin, contenant, soutenant, miroir
    • Acquérir des repères sur le fonctionnement du cerveau pour comprendre et ce que l’on fait et pourquoi

1- Les 4 niveaux, pour être avec une perspective de soi plus vaste

Ce qui nous intéresse c’est le « ici et maintenant » ; Car le passé n’existe plus. Le futur pas encore.
Le seul espace-temps réel est « ici et maintenant » et donc l’endroit où je peux agir, être, co-créer différemment.
Les 4 niveaux de conscience : le physique, l’émotionnel et le mental/imaginaire et le subtil parce que rien n’est séparé. Que chaque « niveau » est un canal d’expression et de réception d’information de notre Être au sens large (très large)
C. Rogers parle de l’être « organismique », il entend par là l’individu dans la globalité de ses aspects physiologiques, instinctifs, intuitifs, conscient, mental, émotionnel.

Ici l’être « organismique » s’exprime à travers différents supports : mouvement, dessin, collage, écriture créative et réflexive, argile, voix spontanée ….

La parole donnée au corps, dans sa globalité, guide vers ce qui restaure l’équilibre et stimule la vitalité.
C’est un processus, un développement, un déroulement qui s’improvise dans l’instant.

Comme l’écrit Max Weber « Dans la création je dépends beaucoup plus de ce que je ne sais pas encore, et de ce que je n’ai pas encore fait .. . ».

2- L’intermodalité créative au cœur des processus

Il s’agit de va et vient entre différents supports artistiques dont le corps en mouvement est au cœur.

Le dessin, l’écriture créative et réflexive, la voix mais aussi parfois l’argile ou la création en nature viennent soutenir et approfondir les processus d’exploration, de transformation et d’intégration.

Dans cette pratique créative et créatrice rien n’est bon ni mauvais ;

L’art nourrit le cheminement individuel et tout ce qui émerge est source d’inspiration. Et comme nous sommes interdépendants, les chemins des un-e-s informent ceux des autres.

Ce sont autant de portes qui s’entrouvrent sur le foisonnement des univers singuliers et uniques de chacun.

3- La présence bienveillante d’un autre comme témoin, contenant, soutenant, miroir

Notre expérience d’humain nous le montre.
Les neurosciences le démontrent.
Emotionnellement, psychiquement et physiologiquent la présence de l’Autre est indispensable.
Nous avons besoin d’être profondément vu, entendu accueilli tel que nous sommes. Sans jugement.
Dans la résolution des traumas la présence d’un autre système nerveux est incontournable dans le processus de guérison. Pas de présence de congénère, pas de résilience. C’est physiologique !

Danser le dessin de son partenaire, recevoir un feedback (littéralement « nourrir en retour ») sur sa danse, entendre ce que l’autre voit, ressenti, imagine sur son dessin, …, les combinaisons sont innombrables et toujours extrêmement éclairantes, surprenantes, clarifiantes, …

4- La compréhension intellectuelle de ces processus

Des clefs utiles, directement en lien avec les pratiques qui viennent légitimer, donner de la valeur (dans le sens rehausser, hisser, augmenter, majorer).
Et par là même renforcer, ancrer le dit-processus.
Notre cerveau à un besoin impérieux de sens et de cohérence
Et plus il met du sens et de la cohérence, plus il peut accueillir ses imperfections, ses manquements, ses insuffisances, ses contradictions, …. Et donc mieux ça va !

Il s’agit aussi de comprendre les règles pour mieux savoir jouer avec et parfois les déjouer !
De comprendre les mécanismes pour gagner en souveraineté, en autonomie, en responsabilité.

 

Prochaines transmissions Neurodanse en Drôme (26) :

EN SUISSE à Pully

  • Emotion, corps, cerveau et théorie polyvagale 24-25 juin

Toutes les autres dates de l’été ICI

 

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