

Les 4 facteurs qui font défaut dans nos choix et prise de décision. Et les leviers sur lesquels nous pouvons agir pour re-conquérir sa liberté d’être et de penser.
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Pourquoi j’ai choisi d’intégrer des neurosciences à ma pratique psychocorporelle ?
C’est cette citation d’Einstein qui m’a poussée à aller creuser puis à intégrer les neurosciences à mon enseignement. Dès mes 20 ans j’ai eu la chance d’être initiée aux traditions ancestrales chamaniques, d’être plongée dans la marmite de la danse et de la créativité comme levier pour me guérir, m’affranchir et trouver ma voie et ma voix.
Passé la première décennie d’archéologie personnelle est venu le temps de comprendre, de mettre du sens, de faire du lien avec la science.
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La méthodologie de la Neurodanse© est fondée sur le principe d’allers/retours entre deux postures : l’allocentrée et l’égocentrée. Ce processus, permet de déplacer l’attention, d’accéder à de nouvelles perceptions, de modifier les schémas moteurs et mentaux. Il stimule l’émergence de nouvelles ressources et donc la possibilité d’être, progressivement, différent. Dans ce cheminement basé sur la créativité, c'est la personne elle-même qui est son propre expert. Elle est souveraine sur sa trajectoire de croissance.
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Notre attention, souvent fugueuse, nous prive d’une part de notre liberté, de notre souveraineté, de notre bien être ici et maintenant, de l’émerveillement des petites choses du quotidien. Comment mieux faire attention à son attention ?
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L’intuition est un concept complexe à expliquer et qui donne lieu à de nombreuses définitions. Nous devons distinguer l’intuition d’expert, de la soudaine information qui n’arrive de nulle part.
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A priori mémoire et futur sont plutôt antinomique. Comment parler de mémoire au sujet de quelque chose qui n’est pas encore arrivé ? La mémoire fait logiquement référence à quelque chose du passé, n’est-ce pas ? Alors mémoire du futur = antilogique ?
Et bien pas tant que cela.
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S’en tenir à sa première impression, surévaluer ou sous-évaluer ses compétences, se conformer aux choix de la majorité, se laisser influencer par la façon dont les choses sont présentées, surévaluer l’opinion des figures d’autorité, accorder plus de valeur à ce qui nous est familier, préférer le statu quo à la nouveauté… et vice versa, croire le négatif plus vrai que le positif, ce suradapter à son milieu socioculturel, ... éclairage et antidotes pour lutter contre ces biais cognitifs
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L’esprit humain fonctionne de manière biaisée. Prise de décisions, choix, avis sur des situations ou des personnes, jugements, raisonnements, traitements des données et valeur que nous donnons aux informations que l’on perçoit sont sous l’influence de nos biais cognitifs. Un cerveau averti étant moins sous l’autorité d’automatismes qu’un cerveau qui ne l’est pas, je vous propose un petit tour d’horizon de cette thématique pour éveiller votre vigilance.
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La mémoire est le plus souvent associée au passé, n’est-ce pas ? Pourtant, une autre dimension de la mémoire existe : celle du futur. D’un point de vue des neurosciences, réactualiser ses représentations, étayer sa mémoire du présent, se mettre en mouvement et donner de la valeur aux détails sont des clefs pour bâtir sa mémoire du futur. D’un point de vue quantique, des fractions du futur sont déjà dans le « maintenant ». L’écoute subtil du corps est une voie royale pour capter ce futur émergeant. Par une présence attentive à soi-même et à son environnement, nous pouvons nous relier à notre champ des possibles. Et, fort de cette richesse, nous pouvons créer un futur différent du passé.
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