« Si jamais quelqu’un parmi vous cède à la pression du chantage, des mensonges et des insultes pour finalement décider de se faire piquer afin de ne pas perdre un emploi, des relations, avantages ou habitudes… alors je crains qu’il n’envoie une putain de vibration désastreuse dans son futur, équivalente à ce qu’on a coutume d’appeler vendre son âme au diable.
Ceci est le cas (1) et ne concerne évidemment pas les personnes qui sont dans le cas (2) c’est à dire dans l’ignorance desdits mensonges etc. ou dans le cas (3) c’est à dire dans l’obligation de se laisser piquer sans quoi la perte serait trop lourde.
Dans le cas (2) les problèmes encourus sont autres… (je fais l’impasse à leur sujet) et dans le cas (3) tout va dépendre du degré d’acceptation. Il sera en effet important de ne pas accepter la chose à contre cœur et c’est pourquoi je fais ce post. La meilleure façon de gérer le (3) est de lâcher prise et de ne pas se faire de soucis; vous faites partie des gagnants. La difficulté du (3) est en effet la peur d’avoir fait une erreur, or s’il n’y avait pas de choix, il n’y avait pas d’erreur.
Ce qui nous ramène au cas (1), qui peut aussi résulter d’un doute de la part d’un cas (3): aurais-je finalement eu un meilleur choix ? Qu’il s’agisse de la soumission acceptée inhérente à (1) ou de cette peur ou regret de s’être peut-être trompé, inhérente à un cas (3) qui doute, vous conduisez votre cerveau à entretenir une vibration désastreuse qui vous coupe durablement de la connexion garante de votre meilleur futur en vous faisant rentrer dans des compromissions qui pourraient devenir infernales.
Le cas (1) sera le plus difficile à gérer, mais il existe des solutions même dans ce cas, s’agissant de se recentrer en se pardonnant éventuellement, ou en appliquant des techniques « informationnelles » dont je ne suis pas spécialiste, je pense par exemple au protocole Hoponopono dont j’ai pu tester la puissance, sans pouvoir pour autant encore très bien expliquer comment ça marche….
Voilà voilà, donc pas de panique, il y a toujours une solution, l’important étant de ne jamais oublier que c’est ce que l’on vibre intérieurement qui détermine notre futur, et non pas la mécanique.
Ah, j’oubliais, la meilleure posture et de loin, étant évidemment le cas (4) : ne pas céder, voie royale respectueuse du soi et garante d’une vie future joyeuse »
Philippe Guillemant
Ingénieur de Recherche HC HDR, à CNRS Université de Provence
Publication du 6 janvier sur facebook : https://www.facebook.com/search/top?q=philippe%20guillemant