
Faire d’un constat d’échec, un tremplin
Si les moments de réussite, les points culminants, sont grisants, stimulants voir spectaculaires, ils ne sont en général pas les moments où on puise le plus nos ressources insoupçonnées, inédites, cachées.
Si les moments de réussite, les points culminants, sont grisants, stimulants voir spectaculaires, ils ne sont en général pas les moments où on puise le plus nos ressources insoupçonnées, inédites, cachées.
Le départ en voyage est l’occasion de regarder dans le rétroviseur ma traversée de cette dernière année depuis le décès de ma fille Lili. **Rester dans le mouvement de la vie quoi qu’il arrive. ** Faire acte de foi ** La mémoire du futur est tissée avec celle du présent,
J’entends beaucoup que j’ai de la chance, que j’ai ceci ou cela « sous-entendu en plus » qui me permet de faire ce que je fais. De faire le choix que je fais. On a la vie qu’on se créé. C’est valable pour tout le monde (aie, ça risque de piquer
Un projet se construit par étapes. On l’oublie parfois. Tant l’envie de concrétiser, un sentiment d’urgence nous pousse, nous stimule et nous fait brûler des étapes.
Voici Les 4 saisons d’un projet. Des indices qui peuvent aider à savoir où on en est. Pour connaitre les actions, les compétences,
Du plaisir au désir de changer en 4 axes : 1- L’attention aux 4 niveaux de conscience 2- L’intermodalité artistique 3- La présence bienveillante d’un autre comme témoin 4- Acquérir des repères du fonctionnement du cerveau pour comprendre ce que l’on fait et pourquoi
Le corps en mouvement, l’art visuel via un dessin ou un collage, l’écriture créative et réflexion sont de précieuses ressources dans les processus de changement car ils permettent de : Déplacer son attention des problèmes vers les pistes de résolution Intégrer durablement de nouvelle manière de fonctionner Remanier la mémoire
Un extrait du livre de Sylvain Tesson « La panthère des neiges »
Une belle illustration d’un biais cognitif auquel les enfants tibétains dont ils parlent échappent … ou l’art de saisir ce qui est dans les périphéries
– parce que l’argent c’est un marécage de traumas familiaux et sociétaux
– parce qu’on en garde des traces inscrites dans les replis neuronaux les plus profonds,
– parce que ces traces se manifestent par de brusques sensations de panique,
Le problème des visions à long terme c’est qu’elles sont trop grandes, un peu étourdissantes et parfois décourageante car on ne sait pas par où, par quoi commencer. Il faut alors « découper » votre Grande Vision en projet réaliste, réalisable.
Qui vous êtes aujourd’hui s’est construit au fil des décennies passées. Aussi, dans 10 ans se construit maintenant. Quels petits pas allez-vous faire pour votre vision en 2023 ?
Copyright © 2023 Béatrice Maine • Réalisé par Digitale Artiste | Direction Artistique Noémie Levain & Digitale Artiste | Photographe Marie Landreau